La presse à dit:

Régis NAJAC : il s’appelle comme ça à la scène comme à la ville.
« éclectype » aux multiples talents, il est auteur compositeur interprète de chansons humoristiques, poétiques et même, tè… grivoises. Amoureux de Brassens, Lapointe et Pink Floyd, il se donne en spectacle depuis les années 80 dans ses « One Man Tiède » avec guitare et voix.
Anthropologue du verbe qui sait décortiquer les formules pour les transformer en chansons pas tristes (ses « chansons flash » dites « résumettes » sont particulièrement croustillantes !). Derrière sa moustache se cache un hypersensible trop méconnu du grand public qui distribue plein de bonne humeur, d’amitié, d’amour, de conneries, de vie quoi…
En 2001, il sort un CD de 15 titres Quart de Blochs (ça veut dire « ¼ de litres d’asticots », et pas un « bus d’Allemands », sot !) puis un dévédé « Live in Vianne » enregistré au festival GeorJacLéo 2007
Grand pourfendeur d’aberrations administratives (voir ses prises de position et publications concernant Uxellodunum)…volontiers gagueur sinon gaffeur, joyeux luron ou poil à gratter, bref un de ceux qui la ramènent un peu,…mais sans qui tout irait moins bien !…
Le Najac : Djeust eu rigolo ?
Méfions nous des conclusions hâtives !
On en recause.

La presse a dit aussi :

Le Najac fait dans la chanson et autres foutaises. Française, la chanson, et gauloises les foutaises. Enfin un peu…
Ces textes oscillent entre la chanson et la résumette (chanson flash si tu veux) entre la rigolade et la gravitude, entre la gaudriole et la poésie, entre cul et chemise, entre et assied toi.
Neveu des tontons Georges Brassens, Boby Lapointe,et autres Pink Floyd, il navigue tranquilou de vague en île, de berge en motte, sans monter à Paris, sans se prendre le chou, sans gaver le producteur, ni embrouiller les ondes radiotélévisées…
Son poil dans la main fit que ce fut après un demi siècle de survie sur cette planète, ponctué de pas mal de concerts seul ou pas, qu’il décida de sortir un C.D., suivi d’un D.V.D. en « live », comme on dit dans la vie.
On lui doit également pas mal de tableaux à l’huile et dessins, un bouquin scientifico-halieutique sur les écrevisses de France métropolitaine : Nos Ecrevisses, une BD : Ah les Cons !, un roman : La Bleue des Causses, un ouvrage sur l’escroquerie archéologique et historique concernant le dernier village pris par Jules César :
Uxellodunum à Capdenac, Regards sur l’Evidence, une bonne quantité de rubriques diverses et variées et quelques bricoles itou. Il sévit encore sur la célèbre revue Monnaies et Détections, au grand dam des biens pensants de l’archéologie rigide…
Onctueusement dédaigné par les grands décideurs cultureux de son trou du monde (notez la délicatesse) il jouit cependant un petit succès par le reste de la France du Sud, Sud Ouest, enfin par là quoi…
C’est déjà pas si mal.
Le Najac est pote avec bien des potes des tontons dont on causait ci-haut, leurs survivants, leurs interprètes, leur petit monde.
Et bon, si ça vous tente, ne vous reste qu’à passer le voir et l’entendre… ou à l’inviter sur place !
A bientôt avec lui, donc !